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Sélection de slashers pour Halloween

C’est Halloween ! Et à cette occasion, je vous ai concocté une petite sélection de slashers pour sublimer vos soirées popcorn & bonbons chimiques. Une sélection qui fait crier « MAIS IL EST CON LUI OU QUOIIII LÀÀÀ ? », « MAIS NON VOUS SÉPAREZ PAS BANDE D’IMBÉCILES ! » ou encore « MAIS T’ES GOGOLE OU QUOI ? IL EST DERRIÈRE TOI ! DERRIÈRE TOOOIIII !!! ».

C’est Halloween ! Tralalalala, tralalalalilala ! La meilleure période de l’année ! (non en vrai ce serait la meilleure si c’était en plein mois d’août, mais quelque chose me dit que l’ambiance ne serait pas tout à fait la même)

Pour éviter de me contenter de vous ressortir la sélection de films pour Halloween de l’année dernière, je me suis imposé un thème pour cette édition 2011 : les slashers. Et pas n’importe lesquels – ce serait trop facile. Même règle que l’année dernière : on ne s’occupe pas des classiques, parce que si je vous dis « ouais bah regardez Halloween, Les Griffes de la Nuit et Vendredi 13 et ciao », vous allez me dire que je vous prends pour des cons (mais si vous les avez vraiment pas vus, vous pouvez aussi en profiter pour y remédier) (à chaque fois j’me dis « tiens, faudrait faire une liste des classiques à ne surtout pas manquer », mais elle ferait 100km).

Bref. Faisons un petit tour des slashers moins connus et trop sous-estimés de ce monde, histoire de leur rendre un peu justice. Comme l’année dernière, cette liste sert aussi à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris, parce qu’ils ont aussi besoin d’amour.

1. April Fool’s Day

April Fool’s Day, dont le titre français est « Week-end de Terreur« , parce qu’apparemment c’était trop dur de l’intituler Poisson d’Avril, est un slasher sorti en 1986 et réalisé par Fred Walton (qui nous a offert le merveilleux When A Stranger Calls, sorti en 1979 – à voir également). Neuf étudiants passent le weekend dans la maison de l’un d’entre eux, située sur une petite île au milieu de nulle part, et se font dégommer un par un. Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu ça quelque part.

Raconté comme ça, forcément, ça fait pas plus envie qu’un autre slasher. Mais en plus d’offrir quelques morts bien sympathiques, April Fool’s Day est plein de petites surprises qui vous feront sautiller de joie. De plus, et c’est assez rare pour être souligné en rouge et en gras : les acteurs sont bons. Ouais je sais, ça parait dingue, mais c’est vrai. C’est un des éléments qui fait d’April Fool’s Day un film très réconfortant. Je vous le conseille pour Halloween, mais il est également parfait pour les dimanches de lose sous la couette. Un must-see pour les fans de slashers. (en revanche, ne vous arrêtez pas sur la version 2008 qui n’a rien à voir et qui ne vaut vraiment pas la peine).

2. Cherry Falls

Cherry Falls est un slasher sorti en 2000, et qui, à première vue, n’a rien d’exceptionnel. Une petite ville américaine, un maniaque en liberté et des lycéens qui tombent comme des mouches – ça c’est pour la première couche. En grattant un peu, on s’aperçoit que cette ville cache un terrible secret, une histoire vieille de 25 ans qui revient hanter les adultes de la ville – et qui décide de s’en prendre à leurs enfants (non, malgré les apparences, je ne parle pas des Griffes de la Nuit). Et là, ça se corse un peu : les meurtres se succédant jour après jour, on finit par se rendre compte que toutes les victimes étaient… vierges. Les lycéens réagissent alors de manière tout à fait logique en organisant une méga fête pour permettre à tous ceux qui ne l’ont pas encore fait de perdre leur virginité et ainsi sauver leur peau. Voilà. Cherry Falls, c’est l’histoire d’un tueur de puceaux.

On y retrouve Brittany Murphy en final girl, et c’est drôle. C’est un film qui ne se prend pas du tout au sérieux (en même temps, ce serait un peu compliqué) et qui vous plonge dans un état nostalgique des 90’s-début 00’s en vous berçant doucement du début à la fin.

3. Hatchet

J’ai déjà fait une revue complète de Hatchet ici, mais je vais résumer rapidement pour ceux qui auraient la flemme de tout lire : réalisé par Adam Green (Frozen), Hatchet a connu un succès quasi-immédiat et presque unanime auprès des fans du genre. Certains s’accordent même à dire qu’il est déjà devenu culte (par contre, pour le 2, c’est vachement plus divisé). Ça se passe dans le bayou, en pleine période de Mardi Gras, y a Tony Todd et Robert Englund, un gros type déformé qui tue des gens et des victimes drôles jusqu’à leur mort. Difficile de ne pas aimer.

J’insiste lourdement sur les morts : elles sont COOL. Sales, violentes et douloureuses, mais COOL. Les effets spéciaux sont parfaits, la dernière fois que j’ai vu le film c’était en 2010 et j’ai encore vachement mal aux cervicales en repensant à une mort en particulier. Le duo Ben (Joel David Moore) et Marcus (Deon Richmond) est proche du duo comique, et c’est un plaisir de les voir tenter d’échapper au gros vilain Victor Crowley (incarné par le géant Kane Hodder, connu pour avoir incarné Jason Voorhees à quatre reprises). Bref, Hatchet, c’est du pur bonheur, une lettre d’amour aux fans de slashers, et une belle collection de morts mémorables.

4. Sleepaway Camp

Je vous ai également parlé de Sleepaway Camp ici, mais je vous fais la version courte : il faut à TOUT PRIX voir ce film. On ne peut pas être fan de films d’horreur, et plus précisément de slashers, et ne pas avoir vu ce film. C’est tout bonnement inenvisageable. Ouais je sais, ça fait un peu intégriste dit comme ça, surtout que je me suis récemment rendue compte que j’avais une légère tendance au premier degré hardcore quand il s’agit de cinéma d’horreur, mais j’insiste. Sleepaway Camp est pire que culte et il est indispensable. Bon, si je continue à vous le survendre vous allez vous attendre à un Psychose bis et me casser la gueule, mais c’est un risque à prendre.

Angela Baker vit chez sa tante avec son cousin Ricky depuis que son père et son frère ont été tués dans un accident de bateau. Pour les vacances d’été, elle et Ricky sont envoyés en camp de vacances – mais pour Angela, qui est réservée, timide et craintive, ça ne va pas être facile tous les jours. D’autant plus qu’un tueur rôde et s’amuse à déglinguer tout le monde, personnel de la colo et enfants, en faisant preuve de beaucoup d’imagination. En plus d’être consistant du début à la fin, d’offrir aux spectateurs un merveilleux aperçu de la mode dans les années 80 ainsi que des morts inventives, Sleepaway Camp se paye également le luxe de vous retourner le cerveau. Un putain de régal que je prends plaisir à revisiter aussi souvent que possible.

5. Clownhouse

Je vais être honnête avec vous : Clownhouse n’est pas un « bon » film. Si vous n’en avez jamais entendu parler, c’est normal, il n’a pas marqué grand monde. Mais si je ne vous recommandais que des bons films, ça se saurait, et je pense que Clownhouse a besoin de notre amour. Déjà, y a une histoire de clowns, et si vous faites partie de la génération Pennywise, vous n’êtes pas super fans de ces psychopathes bariolés. Donc bim, 50 points d’avance pour Clownhouse qui nous renvoie à une de nos plus grandes peurs.

Trois jeunes frères passent la nuit seuls chez eux pendant que leurs parents sont absents et sont attaqués par des psychopathes échappés d’un asile qui ont volé l’identité des clowns du cirque du coin. Point bonus : l’un des trois frères a déjà une peur bleue des clowns (et visiblement un karma de merde). Je sais pas pourquoi, mais les films des années 80 avec des enfants comme personnages principaux – encore plus quand ce sont des films d’horreur – me fascinent totalement. Ils dégagent quelque chose de spécial, et font également partie des films réconfortants dont je n’arrête pas de vous parler. Clownhouse est un des meilleurs exemples – l’ambiance 80’s, le grain du film, la bande-son, tout y est, c’est comme un vieux doudou sur pellicule.

Bref, Clownhouse est vraiment chouette.

Voilà voilà, c’est tout pour cette année. J’ai choisi de m’arrêter à cinq films parce que sinon j’étais partie pour vous pondre une encyclopédie, mais comme il y a des chances pour que ce soit des films dont vous n’avez jamais entendu parler, ça ira. Si vous les avez déjà tous vus… revoyez-les. Et faites en profiter vos potes, bande d’égoïstes.

Et surtout, JOYEUX HALLOWEEN LES ENFANTS ! Envoyez-moi des bonbons pliz, j’commence déjà à manquer.

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Insidious (2011)

Insidious, réalisé par James Wan, est sorti en DVD hier mercredi 26 octobre – juste à temps pour Halloween. Je vous conseille de vous jeter dessus avant le 31 octobre, pour en faire profiter vos potes, puisqu’il colle parfaitement à l’ambiance de la saison et risque de faire sursauter un paquet de monde.

Je n’attendais rien d’Insidious, parce que j’ai été trop souvent déçue ces derniers temps. J’ai préféré me dire que ça me ferait sursauter deux ou trois fois, et ignorer les revues sur le ton « OMG C’EST LE FILM LE PLUS FLIPPANT DEPUIS 1982 ! » – on nous avait fait le coup pour Paranormal Activity, et c’était pas passé. Du coup je suis allée le voir avec mon meilleur pote en lui disant vaguement « paraît qu’il fait peur, mais bon… ». On ne se doutait pas encore de la claque qu’on allait se manger en pleine face. Parce que oui, Insidious nous a fait peur. Très très peur.

Après The Tunnel qui, je vous le répète, m’a flanqué une trouille assez géniale, je ne m’attendais pas à flipper à nouveau, et dix fois plus, en un si court laps de temps. J’ai l’habitude d’avoir vraiment peur environ une fois par an, alors bonjour la surprise hein. Insidious est venu ressusciter le genre de la maison hantée et des esprits frappeurs, et pour une fois, c’est réussi. Réalisé par James Wan et écrit par Leigh Whannell, les deux compères australiens qui ont lancé la franchise Saw (qui s’est, comme nous le savons tous, bien vite cassé la gueule) et produit par ceux qui nous ont amené Paranormal Activity, on avait à la fois de quoi se réjouir et de quoi s’inquiéter.

Josh (Patrick Wilson) et Renai (Rose Byrne) (oui oui, Renai, comme quand on parle en gogole en hurlant J’AI TOUT CASSAI) emménagent dans une nouvelle maison avec leurs trois enfants. Après une aventure dans le grenier qui lui vaut une chute et quelques égratignures, leur fils Dalton va se coucher… et ne se réveille pas. Il tombe dans un coma qui reste inexpliqué par les médecins, qui ne savent plus quoi faire. Dalton reste alité chez lui après son séjour à l’hôpital, toujours profondément endormi, et des trucs bien chelou commencent à se produire dans la maison. Renai y passe le plus clair de son temps pour veiller sur leur dernière née et composer de la musique, tandis que Josh est au boulot. C’est donc Renai qui se mange tout dans la gueule quand les choses commencent à partir sévèrement en vrille.

Un Paranormal Activity sous stéroïdes, mixé avec une ambiance Poltergeist, Insidious revient aux « sources » et agit comme une réponse à ceux qui réclament un « vrai » film d’horreur depuis des années, lassés d’être déçus par les grosses productions. L’arrivée de la médium dans le troisième acte du film va certainement diviser les fans, mais ceux qui resteront dedans jusqu’au bout passeront un excellent moment. Il suffira d’y croire jusqu’au bout et de ne rien lâcher pour vraiment apprécier Insidious de bout en bout. Et quand on croit en avoir fini avec les apparitions qui nous arrête le coeur, ça continue – et ça ne s’arrête pas. J’entendais mon meilleur pote murmurer « bon, ça suffit là, j’en ai marre, faut arrêter maintenant » alors qu’il s’enfonçait les ongles dans les paumes pour résister à l’envie de hurler. Je ne dis pas que c’est LE film le plus terrifiant de la décennie, mais y a moyen de bien flipper sa race, tout dépend de votre niveau de résistance.

Insidious fait flipper de jour comme de nuit, avec des apparitions parfois brèves et discrètes qui nous font nous demander si on a complètement halluciné ou pas, et d’autres qui nous arrivent en pleine gueule et qui nous grimpe dessus pour nous secouer pendant cinq minutes. J’ai passé les trois quarts de la séance à laminer le bras de mon pote avec une main plaquée sur ma bouche. Même quand on sait pertinemment quand ça va faire peur, qu’on sent que ça vient et qu’on se dit « bon ça va là, on sait, ça va arriver par derrière et on va tous sursauter, ouaiiis », le film parvient quand même à nous surprendre et à nous faire l’effet qu’on sentait pourtant venir.

En plus, l’un des fantômes/esprits/démon est un peu l’enfant illégitime de Freddy Krueger et de Darth Maul alors bon, c’est que du bonheur. Pas de CGI, pas d’effets spéciaux pourris, pas de gore inutile, Insidious est vraiment un putain de bon film comme on en voit trop rarement ces derniers temps. James Wan et Leigh Whannell devraient être soudés l’un à l’autre pour ne jamais se séparer et nous pondre encore des merveilles comme celle-ci.

Le film est sorti en DVD mercredi 26 octobre, et je vous conseille vraiment de tenter l’expérience. Côté bonus, ça reste malheureusement trop léger : un entretien avec James Wan et Leigh Whannell  et un making of de 24 minutes – c’est pas non plus la dèche ultime, mais on aurait aimé en voir un peu plus.

http://www.youtube.com/watch?v=E1YbOMDI59k

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Le Retour des Morts Vivants (1985)

Réalisé par Dan O’Bannon

Revue spéciale nostalgie aujourd’hui ! Le Retour des Morts Vivants occupe une place toute particulière dans mon coeur, parce qu’il s’agit du tout premier film d’horreur dont je me souvienne. Si ce n’est pas le tout premier film d’horreur que j’ai vu (j’étais trop jeune pour me souvenir des premiers), il reste mon premier souvenir. Je me revois à 3-4 ans, assiste par terre devant une petite télé, complètement morte de rire devant la scène du cadavre-sans-tête. Pendant longtemps, quand je revisitais ce souvenir, j’y voyais non pas un cadavre, mais un mannequin en plastique, réanimé et sans tête. C’est pour ça que j’ai mis quelques années avant de remettre la main sur le film et de l’identifier. Depuis, je m’y replonge assez régulièrement, et toujours avec le même plaisir. Parce qu’en dehors de sa valeur sentimentale, Le Retour des Morts Vivants est aussi un putain de bon film. Lire la suite

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The Tunnel (2011)

Réalisé par Carlo Ledesma

J’adore les films australiens. Wolf Creek, Lake Mungo, The Loved Ones, ou encore Rogue sont des films dont je garde un souvenir ému (comprendre : un souvenir efficace qui m’envoie des petits frissons de peur dans la colonne). Alors quand j’ai entendu parler de The Tunnel pour la première fois (merci Hsztheater, toujours là pour me conseiller de nouveaux films),et que j’ai compris qu’il s’agissait d’un film australien, je me suis jetée dessus. Eh bah putain, j’ai bien fait, mais je dormirai certainement plus jamais de ma vie.

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Session 9 (2001)

Réalisé par Brad Anderson

Je vous ai déjà parlé très brièvement de Session 9 dans ma sélection de films à tendance paranormale, mais mon obsession pour ce film me pousse à en faire une revue tardive. Il s’agit d’un de mes films préférés, et comme on m’a souvent demandé de faire une liste des indispensables des films d’horreur, voici de quoi la compléter. Ce sera l’occasion de retrouver David Caruso dans un rôle pas super éloigné mais un peu quand même de celui qu’il tient dans Les Experts: Miami avec son super TOC sponsorisé par Ray-Ban.

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Scream 4 (0% de spoilers) (2011)

Réalisé par Wes Craven

Oh nom de dieu. Jamais de ma vie je n’avais attendu un film avec autant d’espoir et d’impatience. Jamais je n’avais eu autant envie d’aimer un film, ni ressenti autant d’appréhension. J’ai refusé les projections presses et avant-premières parce que je voulais vivre ça avec tout le monde, pas en snob seule dans une salle. Je me savais ultra-fan de Scream, mais j’ai découvert aujourd’hui à quel point j’étais atteinte. C’était le plus beau jour de ma vie. Wes Craven et Kevin Williamson ne m’ont pas abandonnée. Il y a encore de l’espoir pour le cinéma d’horreur, le cliché de la suite pourrie s’est pris une claque et j’ai passé un des plus beaux moments de ma vie (j’déconne à moitié en plus, c’est vous dire).

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Sélection de films à tendance paranormale

Ce mois-ci sur madmoiZelle, nous avons constitué un dossier spécial Paranormal. Autant dire que la participation du Blog Horreur est obligatoire, sinon je passe pour une grosse nulle (et à ce niveau là nous savons tous que j’ai des points de retard).

C’est donc l’occasion de constituer une petite liste de films à regarder pour célébrer le dossier de février, donc si vous n’avez rien à faire ce weekend, une petite séance de spiritisme entre copines et quelques films de cette sélection devraient faire l’affaire.

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Doghouse (2009)

Réalisé par Jake West


POURQUOI je ne vous ai jamais parlé de Doghouse ? Je me souviens vaguement avoir commencé à écrire une revue et allez savoir pourquoi, je n’ai jamais continué et puis j’ai oublié. Jusqu’à ce que je revois le film et que je me sente obligée de me flageller avec un martinet à clous rouillés pour me punir de ne pas vous en avoir parlé. En vrai, si on est vraiment honnêtes deux minutes, entre le nombre de films dont je vous parle et le nombre de films que je regarde dans votre dos, y a pas photo, je suis une sacrée traîtresse. Mais passons, parlons de Doghouse.

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Sélection de films pour Halloween

Halloween, c’est surtout fait pour se gaver de bonbons et s’habiller comme une chaudasse de l’enfer une fois dans l’année sans passer pour la dernière des traînées, le tout en avalant des cocktails qui font de la fumée. Mais il existe encore quelques adeptes de la soirée DVD à l’ancienne, avec quelques potes, un grand saladier de popcorn et une multitude de bonbons chimiques à portée de main. Comme il arrive également que la soirée DVD survienne après la soirée débauche en costume de Freddy-pute ou Diablesse en chaleur, ce n’est pas le moment idéal pour sortir les grands classiques qui méritent concentration et réflexion. C’est pour cette raison que j’ai choisi de vous faire une sélection de navets, de slashers simplistes, de comédies horrifiques et autres plaisirs simples. De quoi faire marrer les copains et emmerder les voisins à force de crier « VA PAS DANS LA COUISIIIIINE ! » ou « COMMENT IL L’A DÉ-FON-CÉÉÉ ». Cette sélection sert également à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris et inversement.

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Ginger Snaps

Parce qu’il ne faut pas oublier à quel site est rattaché le blog horreur, il est temps de revenir aux sources avec des films qui parleront aux filles. Les commentaires du blog m’ont prouvé à plusieurs reprises que toutes sortes de filles regardaient – et appréciaient – pas mal de films d’horreur, j’estime donc que vous serrez nombreuses à vous retrouver dans la sélection à venir. Place au délicieux sous-genre des horror chick flicks.

Et pour ouvrir les festivités, j’ai prévu de commencer avec ce qui est pour moi LE film d’horreur pour filles par excellence, qui nous parle tout particulièrement puisqu’il traite d’un sujet que nous n’avons, jusqu’à présent, pas pu éviter en grandissant : la puberté. Mais on parle toujours de cinéma d’horreur, alors ne vous attendez pas à trouver des conseils sur le choix de tampons ou de soutien-gorge puisque ce film utilise un angle particulier pour traiter du sujet sans en avoir l’air.

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