Wolf Creek 2 : le trailer !

Huit ans après sa première apparition dans Wolf Creek, l’ignoble Mick Taylor prépare son grand retour sur nos écrans.

mick

AH BAH VOILÀ. ENFIN. DEPUIS LE TEMPS QU’ON L’ATTENDAIT.

ET SI J’ÉCRIVAIS CETTE NEWS EN CAPSLOCK JUSQU’À LA FIN, HM ?

Non, vous avez raison, c’est nul. Voici donc le tant attendu trailer de Wolf Creek 2, avec Greg McLean toujours aux commandes, qui nous annonce le retour triomphant de Mick Taylor (toujours interprété par John Jarratt), le tueur en série le plus redouté de la fiction australienne.

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Uninhabited (2010) – Camper, c’est mourir un peu

Uninhabited est un film australien réalisé par Bill Bennett dans lequel deux amoureux décident de s’exiler sur une île « déserte » pendant 10 jours. Mauvaise idée.

Ah, l’Australie… C’est marrant comme plus le temps passe, moins j’arrive à croire à la possibilité que quelque chose de bon puisse sortir de ce pays. En dehors des films, j’veux dire. Parce que le cinéma d’horreur australien et moi, on est potes depuis Wolf Creek, et c’est pas près de s’arrêter là. Et finalement, ces films ne font que décupler le sentiment d’horreur que m’inspire ce pays. D’après mes propres statistiques, en naissant en Australie, on a 98% de mourir avant 30 ans. Dur, hein ?

Suicide Club Med

Bon, alors quand on sait ça, qu’est-ce qu’on fait ? Bah on évite de prendre des risques inutiles, déjà. Sauf quand on s’appelle Beth (en même temps, avec un nom pareil hein…). Beth est une jeune biologiste marine qui décidé d’embarquer son mec, Harry, camper sur une île déserte pendant dix jours. Alors avant même de parler des dangers de l’île, parlons de la connerie de cette idée : aller camper, c’est déjà une sacrée grosse idée de merde. Aller camper sur une île déserte, ça veut dire se faire conduire là-bas par un mec et lui donner rendez-vous dix jours plus tard. Donc ça veut dire qu’ils n’ont aucun moyen de quitter l’île rapidos, ils ont juste un petit téléphone satellite pour demander au mec de rappliquer au plus vite si y a un souci.

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The Reef (2010)

Réalisé par Andrew Traucki

Je crois que je suis en manque de films de requins en ce moment. Y a qu’à voir dans quel état je suis quand je vous fais part d’une bande-annonce du genre (cf. Shark Night et Bait), ça me met en joie, j’ai envie de sautiller dans tous les sens et de voir le film tout de suite maintenant immédiatement sans plus attendre. Faut savoir que je HAIS les requins hein, comme tous ceux qui ont grandit en matant les rediff des Dents de la Mer tous les étés à la télé. Résultat, j’ai très peur dans l’eau quand j’ai plus pieds (même un peu avant), parce que je ne sais pas ce qui rôde dans le coin, et ça m’angoisse profondément. Si encore c’était que les requins, mais j’ai peur des pieuvres, des calamars géants, des créatures sorties tout droit du crétacé qui n’ont pas encore été (re)découvertes, des piranhas, des crabes, des bernard l’ermite, BREF, de tout ce qui côtoie les fonds marins.

Mais bon, le top du top de la trouille marine ultime, c’est quand même le requin. Donc, en attendant la sortie de Bait et Shark Night, j’ai décidé de regarder The Reef (dont je vous avais déjà parlé d’ailleurs). Mon cher conseiller hsztheater m’en avait parlé, et encore une fois, il a visé juste. The Reef fout une sale pression qui fait mal, façon Open Water, ambiance « il n’y a plus d’espoir de toute façon on va tous mourir et on a nulle part où aller et on est tous seuls et j’ai faim et en plus j’ai mal partout et j’vais rater la finale de la Nouvelle Star ».

Scénario simplissime : une balade en bateau qui tourne mal, il faut nager jusqu’à l’île la plus proche pour aller chercher du secours et entre le bateau et l’île : de l’eau et des requins. YOUPI. On passe donc la grand majorité du film à serrer les dents pendant que le petit groupe nage gaiement à travers l’océan, quelle grosse marrade. Alors déjà, je tenais à vous annoncer que j’ai deviné avec exactitude l’ordre de mort des personnages, je pense que pour ça je mérite une médaille parce que je commence à être super forte en prédiction de décès. Je sais pas trop où ça va me mener dans la vie, mais il faut savoir reconnaître ses qualités.

Donc voilà, pas grand chose à raconter d’autre, vous vous en doutez bien, mais je le répète : GROSSE PRESSION. J’aime PAS les requins putains, c’est tellement efficace. Paris est loin d’être en bord de mer, j’habite au septième étage d’un immeuble, mais j’ai quand même relevé les jambes dès la première attaque de peur de me faire attraper les pieds. Les requins mettent en péril mon équilibre mental. Mais bon, c’est bientôt les vacances, le soleil, la plage, la mer, alors je vous conseille de vous remettre tranquillement dans le bain (HAHA) avec The Reef, histoire de vous mettre bien pour cet été. Moi je vais passer mes vacances dans une piscine, mais croyez-moi, ça va pas m’empêcher de me faire des frayeurs toute seule et de me mettre à pleurer sur mon matelas gonflable.

Mais bon, comme je suis profondément masochiste, je vais enchaîner sur un autre film d’Andrew Traucki : Black Water. Inspiré de faits réels. Avec des gros crocrodiles. OUAIS OUAIS ON VA ENCORE BIEN RIGOLER YOUPI ALLEZ LES COPAINS VENEZ AVEC MOI.

The Tunnel (2011)

Réalisé par Carlo Ledesma

J’adore les films australiens. Wolf Creek, Lake Mungo, The Loved Ones, ou encore Rogue sont des films dont je garde un souvenir ému (comprendre : un souvenir efficace qui m’envoie des petits frissons de peur dans la colonne). Alors quand j’ai entendu parler de The Tunnel pour la première fois (merci Hsztheater, toujours là pour me conseiller de nouveaux films),et que j’ai compris qu’il s’agissait d’un film australien, je me suis jetée dessus. Eh bah putain, j’ai bien fait, mais je dormirai certainement plus jamais de ma vie.

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The Reef : Trailer

Il FAUT que je vous parle de The Reef. Déjà parce que tout le monde commence gentiment à en parler mais aussi parce qu’on m’a raconté une partie du film et que j’ai failli en mourir. The Reef reprend le concept Open Water, des gens en plein milieu d’un nulle part mouillé, profond et infesté de requins, et me no likey les requins. Je passe en hyperventilation dès que j’ai plus pied dans la méditerranée alors je vous laisse imaginer le délire.

J’ai donc pris mon courage à douze mains (j’ai appelé des potes pour m’aider) et j’ai à mon tour visionné la bande-annonce du film. Trois minutes après j’étais en position fœtale dans ma penderie en train d’appeler ma mère.

De plus, c’est un film AUSTRALIEN, et si vous trainez un peu sur Madmoizelle, vous devez déjà connaître tout le bien que je pense de ce pays. Il n’y a pas de date de sorti française pour le moment (EVIDEMMENT, j’ai envie de dire) mais si ce film ne sort pas en France, je pense que je pourrais devenir violente.

Edit : Comme ça l’a été signalé dans les commentaires par chatducheshire (en personne), le film ne sortira donc pas en salles mais directement en DVD chez Wild Side. Tristesse.