Le Couvent est un film qui a l’air d’avoir été tourné avec un 3310 et un budget de 7,50€ et dont on aimerait bien se moquer, mais comme il le fait très bien lui-même c’est pas la peine.
La première fois que j’ai vu Le Couvent de Mike Mendez, ça devait être en 2003, après avoir chopé le DVD au vidéo club (je suis un fossile) du coin un peu par hasard pour me faire une petite soirée nanards entre copines, avec pizza et glace, pour rigoler un peu. Et pour le coup, on a vraiment, VRAIMENT beaucoup rigolé. Parce qu’au premier abord, quand on se lance dans Le Couvent sans trop savoir où on fout les pieds, on a vraiment l’impression d’avoir déterré le navet du siècle. Les dialogues sont hallucinants, les acteurs sont tous plus mauvais les uns que les autres, les FX sont à pleurer et le scénario, alors là…
Mais quand on y regarde de plus près, on découvre un OVNI complètement délirant et vachement marrant, qui ne se prend pas au sérieux une seule seconde et qui tire son inspiration des plus grands. Avec une vibe entre Démons de Lamberto Bava et Evil Dead de Sam Raimi, des caméos de haut niveau et une guest-star de qualité, c’est un film qui mérite bien plus d’amour que de haine, et qu’on devrait tous chérir et sortir pour les grandes occasions.
Blair Witch 2: Le Livre des Ombres, réalisé par Joe Berlinger, est un film qui a été bien trop sévèrement jugé par nombre d’entre vous, qui ne réalisent pas qu’il s’agit en réalité d’un film bien plus intelligent qu’il n’y parait.
Les pires ennemis des films d’horreur ne sont pas nécessairement les mauvais réalisateurs, mais ceux qui sabotent le travail de personnes bien intentionnées qui tentent de nous offrir des concepts originaux sans nous prendre pour des billes. Une des preuves les plus parlantes de ces sabotages bien trop fréquents perpétrés par les producteurs et les distributeurs reste Blair Witch 2: Le Livre des Ombres. Considéré aujourd’hui comme une très mauvaise suite qui a tenté de surfer maladroitement sur le succès du premier volet, il s’agit en réalité d’un film intéressant, bien foutu, et bien plus intelligent qu’il n’y parait.
Et j’ai encore beaucoup de mal à convaincre ceux qui l’ont jeté à la poubelle après le premier visionnage. Du coup, je vais tenter de vous persuader de donner une seconde chance à cette suite qui a beaucoup plus à offrir que ce que vous pouvez penser.
Le Pacte du Sang (The Covenant) est un film de Renny Harlin dans lequel quatre jeunes descendants de sorciers doivent se battre contre un mystérieux adversaire qui fout sa merde partout où il passe.
Aaaah, bah voilà. Ça faisait longtemps que j’avais pas pris la défense d’un film pourri, ça commençait à manquer. Laissez-moi donc vous présenter Le Pacte du Sang, un teen movie sur fond de sorcellerie au masculin qui fait du bien à la libido. Alors je sais pas si c’est moi qui suis vraiment malade, mais quatre minets qui font mumuse avec leurs super-pouvoirs en faisant des regards par en bas à la George Clooney, ça me rend toute chose.
Le film tourne autour de quatre jeunes sorciers, les Fils d’Ipswich, qui en plus d’avoir des super-pouvoirs sont beaux, riches, et populaires. Mais comme on peut jamais tout avoir dans la vie, le quotidien idyllique de ces quatre mannequins Abercrombie jeunes lycéens se prend bien vite un bon coup de matraque dans la gueule. Il y a un nouveau pouvoir en ville, et il est pas très très content. Est-ce l’un des quatre sorciers ou un cinquième élément mystérieux ? SUSPENSE. Tout le monde est sur ses gardes, ils se méfient tous les uns des autres, et ça crée bien vite un bon gros bordel jusqu’au dénouement final pas du tout facile à deviner dès les dix premières minutes. De toute façons ils spoilent tout dans la bande-annonce, alors à quoi bon.
C’est Halloween ! Et à cette occasion, je vous ai concocté une petite sélection de slashers pour sublimer vos soirées popcorn & bonbons chimiques. Une sélection qui fait crier « MAIS IL EST CON LUI OU QUOIIII LÀÀÀ ? », « MAIS NON VOUS SÉPAREZ PAS BANDE D’IMBÉCILES ! » ou encore « MAIS T’ES GOGOLE OU QUOI ? IL EST DERRIÈRE TOI ! DERRIÈRE TOOOIIII !!! ».
C’est Halloween ! Tralalalala, tralalalalilala ! La meilleure période de l’année ! (non en vrai ce serait la meilleure si c’était en plein mois d’août, mais quelque chose me dit que l’ambiance ne serait pas tout à fait la même)
Pour éviter de me contenter de vous ressortir la sélection de films pour Halloween de l’année dernière, je me suis imposé un thème pour cette édition 2011 : les slashers. Et pas n’importe lesquels – ce serait trop facile. Même règle que l’année dernière : on ne s’occupe pas des classiques, parce que si je vous dis « ouais bah regardez Halloween, Les Griffes de la Nuit et Vendredi 13 et ciao », vous allez me dire que je vous prends pour des cons (mais si vous les avez vraiment pas vus, vous pouvez aussi en profiter pour y remédier) (à chaque fois j’me dis « tiens, faudrait faire une liste des classiques à ne surtout pas manquer », mais elle ferait 100km).
Bref. Faisons un petit tour des slashers moins connus et trop sous-estimés de ce monde, histoire de leur rendre un peu justice. Comme l’année dernière, cette liste sert aussi à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris, parce qu’ils ont aussi besoin d’amour.
1. April Fool’s Day
April Fool’s Day, dont le titre français est « Week-end de Terreur« , parce qu’apparemment c’était trop dur de l’intituler Poisson d’Avril, est un slasher sorti en 1986 et réalisé par Fred Walton (qui nous a offert le merveilleux When A Stranger Calls, sorti en 1979 – à voir également). Neuf étudiants passent le weekend dans la maison de l’un d’entre eux, située sur une petite île au milieu de nulle part, et se font dégommer un par un. Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu ça quelque part.
Raconté comme ça, forcément, ça fait pas plus envie qu’un autre slasher. Mais en plus d’offrir quelques morts bien sympathiques, April Fool’s Day est plein de petites surprises qui vous feront sautiller de joie. De plus, et c’est assez rare pour être souligné en rouge et en gras : les acteurs sont bons. Ouais je sais, ça parait dingue, mais c’est vrai. C’est un des éléments qui fait d’April Fool’s Day un film très réconfortant. Je vous le conseille pour Halloween, mais il est également parfait pour les dimanches de lose sous la couette. Un must-see pour les fans de slashers. (en revanche, ne vous arrêtez pas sur la version 2008 qui n’a rien à voir et qui ne vaut vraiment pas la peine).
2. Cherry Falls
Cherry Falls est un slasher sorti en 2000, et qui, à première vue, n’a rien d’exceptionnel. Une petite ville américaine, un maniaque en liberté et des lycéens qui tombent comme des mouches – ça c’est pour la première couche. En grattant un peu, on s’aperçoit que cette ville cache un terrible secret, une histoire vieille de 25 ans qui revient hanter les adultes de la ville – et qui décide de s’en prendre à leurs enfants (non, malgré les apparences, je ne parle pas des Griffes de la Nuit). Et là, ça se corse un peu : les meurtres se succédant jour après jour, on finit par se rendre compte que toutes les victimes étaient… vierges. Les lycéens réagissent alors de manière tout à fait logique en organisant une méga fête pour permettre à tous ceux qui ne l’ont pas encore fait de perdre leur virginité et ainsi sauver leur peau. Voilà. Cherry Falls, c’est l’histoire d’un tueur de puceaux.
On y retrouve Brittany Murphy en final girl, et c’est drôle. C’est un film qui ne se prend pas du tout au sérieux (en même temps, ce serait un peu compliqué) et qui vous plonge dans un état nostalgique des 90’s-début 00’s en vous berçant doucement du début à la fin.
3. Hatchet
J’ai déjà fait une revue complète de Hatchet ici, mais je vais résumer rapidement pour ceux qui auraient la flemme de tout lire : réalisé par Adam Green (Frozen), Hatchet a connu un succès quasi-immédiat et presque unanime auprès des fans du genre. Certains s’accordent même à dire qu’il est déjà devenu culte (par contre, pour le 2, c’est vachement plus divisé). Ça se passe dans le bayou, en pleine période de Mardi Gras, y a Tony Todd et Robert Englund, un gros type déformé qui tue des gens et des victimes drôles jusqu’à leur mort. Difficile de ne pas aimer.
J’insiste lourdement sur les morts : elles sont COOL. Sales, violentes et douloureuses, mais COOL. Les effets spéciaux sont parfaits, la dernière fois que j’ai vu le film c’était en 2010 et j’ai encore vachement mal aux cervicales en repensant à une mort en particulier. Le duo Ben (Joel David Moore) et Marcus (Deon Richmond) est proche du duo comique, et c’est un plaisir de les voir tenter d’échapper au gros vilain Victor Crowley (incarné par le géant Kane Hodder, connu pour avoir incarné Jason Voorhees à quatre reprises). Bref, Hatchet, c’est du pur bonheur, une lettre d’amour aux fans de slashers, et une belle collection de morts mémorables.
4. Sleepaway Camp
Je vous ai également parlé de Sleepaway Camp ici, mais je vous fais la version courte : il faut à TOUT PRIX voir ce film. On ne peut pas être fan de films d’horreur, et plus précisément de slashers, et ne pas avoir vu ce film. C’est tout bonnement inenvisageable. Ouais je sais, ça fait un peu intégriste dit comme ça, surtout que je me suis récemment rendue compte que j’avais une légère tendance au premier degré hardcore quand il s’agit de cinéma d’horreur, mais j’insiste. Sleepaway Camp est pire que culte et il est indispensable. Bon, si je continue à vous le survendre vous allez vous attendre à un Psychose bis et me casser la gueule, mais c’est un risque à prendre.
Angela Baker vit chez sa tante avec son cousin Ricky depuis que son père et son frère ont été tués dans un accident de bateau. Pour les vacances d’été, elle et Ricky sont envoyés en camp de vacances – mais pour Angela, qui est réservée, timide et craintive, ça ne va pas être facile tous les jours. D’autant plus qu’un tueur rôde et s’amuse à déglinguer tout le monde, personnel de la colo et enfants, en faisant preuve de beaucoup d’imagination. En plus d’être consistant du début à la fin, d’offrir aux spectateurs un merveilleux aperçu de la mode dans les années 80 ainsi que des morts inventives, Sleepaway Camp se paye également le luxe de vous retourner le cerveau. Un putain de régal que je prends plaisir à revisiter aussi souvent que possible.
5. Clownhouse
Je vais être honnête avec vous : Clownhouse n’est pas un « bon » film. Si vous n’en avez jamais entendu parler, c’est normal, il n’a pas marqué grand monde. Mais si je ne vous recommandais que des bons films, ça se saurait, et je pense que Clownhouse a besoin de notre amour. Déjà, y a une histoire de clowns, et si vous faites partie de la génération Pennywise, vous n’êtes pas super fans de ces psychopathes bariolés. Donc bim, 50 points d’avance pour Clownhouse qui nous renvoie à une de nos plus grandes peurs.
Trois jeunes frères passent la nuit seuls chez eux pendant que leurs parents sont absents et sont attaqués par des psychopathes échappés d’un asile qui ont volé l’identité des clowns du cirque du coin. Point bonus : l’un des trois frères a déjà une peur bleue des clowns (et visiblement un karma de merde). Je sais pas pourquoi, mais les films des années 80 avec des enfants comme personnages principaux – encore plus quand ce sont des films d’horreur – me fascinent totalement. Ils dégagent quelque chose de spécial, et font également partie des films réconfortants dont je n’arrête pas de vous parler. Clownhouse est un des meilleurs exemples – l’ambiance 80’s, le grain du film, la bande-son, tout y est, c’est comme un vieux doudou sur pellicule.
Bref, Clownhouse est vraiment chouette.
Voilà voilà, c’est tout pour cette année. J’ai choisi de m’arrêter à cinq films parce que sinon j’étais partie pour vous pondre une encyclopédie, mais comme il y a des chances pour que ce soit des films dont vous n’avez jamais entendu parler, ça ira. Si vous les avez déjà tous vus… revoyez-les. Et faites en profiter vos potes, bande d’égoïstes.
Et surtout, JOYEUX HALLOWEEN LES ENFANTS ! Envoyez-moi des bonbons pliz, j’commence déjà à manquer.
Axel Zita, qui officie habituellement sur Gentlemec, a découvert Urban Legend cette semaine. Du coup, il vous force aujourd’hui à revivre ça avec lui, et tente de vous expliquer pourquoi c’est une pure tuerie. (Rappel : si vous voulez écrire pour le blog horreur > jack@madmoizelle.com).
Tu as sans doute entendu parler de Urban Legend, ce film délicieusement vintage que l’on regarde lors de soirées bières/chips en rigolant grassement. La trilogie Urban Legend, c’est le genre de soirée DVD qui fait plaisir à l’approche d’Halloween. Le style de films qui fait pas (trop) peur, où ça gicle bien, avec des mises à morts plutôt sympatoches et des acteurs qui y touchent leurs premiers cachets. Forcément, c’est du classique ; forcément, c’est du pourri ; et forcément, c’est culte.
En ce qui concerne la saga Urban Legend, y a deux écoles : ceux qui trouvent ça encore plus pourri que Destination Finale (et qui n’ont rien compris, comme dirait Colonel Reyel à la fin d’Aurélie) ; et ceux qui le jugent à sa vraie valeur, et se délectent de la magistrale dégénérescence des épisodes de la trilogie.
Bon, avant que j’énumère les raisons pour lesquelles Urban Legend, ça défonce, jouons cartes sur table. Au début, je voulais balancer un top 10 des morts les plus lolantes, un peu comme celui que Mandy vous avait concocté avec Destination Finale. Mais comme YouTube est une biatch qui a décidé de contrecarrer mes plans, on devra faire sans certaines scènes qui m’ont fait recracher ma bière, et j’en suis profondément désolé. Mais on s’en fout, venons-en aux 3 big trucs qui font que vous ne pouvez pas louper Urban Legend.
1. Parce que bordel, les mises à morts sont hyper-cool
Que ce soit un chien dans un micro-ondes, une meuf qui se fait attaquer par des araignées qui sortent de son propre corps, ou un blaireau qui crame dans une cabine UV, on peut dire que les mecs chargés de compiler des légendes urbaines pour le film se sont fait plaisir. Et pour vous prouver que je vous dis pas des conneries, voici la scène bien crado qui fait vomir. Vous vous êtes déjà demandé ce que ça faisait de se réveiller dans une baignoire pleine de glaçons, et de voir qu’on vous a piqué un rein, en mode Charlie the Unicorn ? Ben ça a l’air de faire bizarre.
Ah ouais au fait, c’est un peu dur à regarder quand on vient de manger.
2. Parce qu’y a Freddy Krueger et Lex Luthor dedans
Oui, vous avez bien lu. Dans Urban Legend, y a Robert Englund, môssieur Freddy Krueger. Et y a aussi le Lex Luthor de Smallville, la biatch blonde d’American Pie et (attention les filles) JARED LETO. Oui, le premier épisode d’Urban Legend est truffé d’acteurs qui ont réussi à trouver du boulot après. Comme quoi, les slashers mènent à tout. Pour voir Lex Luthor avec des cheveux, regardez-moi cette bande-annonce qui déchire.
Dans le deuxième, y a aussi le Dr Cameron de House, et une Eva Mendès goudou. Rien que pour ça, le 2 est indispensable. Bon par contre, faut pas déconner, ils ont pas réussi à avoir du people pour le troisième. Mais c’est pas pour ça que c’est une grosse daube hein, ça c’est la faute aux effets spéciaux tout pourris.
3. Parce qu’après le premier, ça part complètement en vrille
Et ouais, après le premier, on commence doucement à rentrer dans le WTF. Urban Legend : Final Cut (traduit par Coup de grâce, allez savoir pourquoi) est un film assez relou, mais constellé de scènes complètement ouf et de punchline de malade comme « Lâche ce flingue, espèce de fils de pute psychotique ! ». Ouais, ça envoie du FAT, et avec le 3 ça ne s’arrange pas. On vire carrément dans le surnaturel, avec le fantôme d’une gonzesse qui a piqué son maquillage à la gamine de l’exorciste. Tout le budget du film est parti dans les mises à mort, alors vous vous doutez bien que question gore, on a mis le paquet. Entre le coup des araignées (attention, c’est méga dégueulasse) et le « Salut je te tabasse et je te tranche la gorge avec une bouteille cassée », y a de quoi partir aux toilettes pour rendre son dîner.
Maintenant, vous savez ce qui vous reste à faire. Sur ce, je vous laisse avec Lex et son chien :
Halloween, c’est surtout fait pour se gaver de bonbons et s’habiller comme une chaudasse de l’enfer une fois dans l’année sans passer pour la dernière des traînées, le tout en avalant des cocktails qui font de la fumée. Mais il existe encore quelques adeptes de la soirée DVD à l’ancienne, avec quelques potes, un grand saladier de popcorn et une multitude de bonbons chimiques à portée de main. Comme il arrive également que la soirée DVD survienne après la soirée débauche en costume de Freddy-pute ou Diablesse en chaleur, ce n’est pas le moment idéal pour sortir les grands classiques qui méritent concentration et réflexion. C’est pour cette raison que j’ai choisi de vous faire une sélection de navets, de slashers simplistes, de comédies horrifiques et autres plaisirs simples. De quoi faire marrer les copains et emmerder les voisins à force de crier « VA PAS DANS LA COUISIIIIINE ! » ou « COMMENT IL L’A DÉ-FON-CÉÉÉ ». Cette sélection sert également à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris et inversement.
Il y a quelque chose de spécial dans les films d’horreur datant de la fin des années 90. A chaque fois que je revisite un film de cette époque, qu’il soit bon ou mauvais, j’ai la même sensation que quand je mange des coquillettes au jambon le dimanche (j’ai une vie de rockstar, je sais pas si je vous l’ai déjà dit). J’essaye bêtement de retranscrire ce que je ressens mais j’y arrive pas alors soyez indulgents. C’est sûrement parce que j’ai vécu pas mal de choses à cette époque, fin de l’enfance, entrée dans l’adolescence tout ça quoi. Du coup chaque film apporte avec lui son lot de souvenirs et de sensations oubliées. Là où The Faculty me ramène à mon amour inexpliqué pour les mules compensées, La Maison de l’Horreur me rappelle le goût de la despé et de la salive d’un de mes premiers « vrais » copains (coucou Clément, ça va depuis l’temps ?). Tout un programme.
C’est loin d’un être un secret vu que je le gueule sur tous les toits : J’ADORE Freddy vs. Jason. J’ai dû le voir une bonne vingtaine de fois et à chaque fois je suis partagée entre le facepalm affligé et la ola générale en comité de une personne. Je suis la première à admettre que ce film est pourrave mais je ne peux m’empêcher de l’aimer profondément, d’un amour pur et cristallin. Et puisque personne ne semble comprendre pourquoi, voici ma tentative d’explication.