La scène d’ouverture, c’est un peu la bio Twitter de n’importe quel film d’horreur – c’est celle qui doit contenir suffisamment d’informations pour nous donner une idée de ce qu’on va trouver dans les deux heures qui suivent et qui doit susciter notre intérêt pour éviter qu’on aille glander sur Tumblr pendant la moitié du film et qu’on en zappe la moitié.
Si elle est réussie, il y a de grandes chances pour qu’on reste jusqu’à la fin, peu importe le tournant que prennent les choses, parce qu’on nous a assez donné envie de rester au début pour qu’on accepte de suivre l’histoire jusqu’à son dénouement.
Mais réussir une vraie bonne scène d’intro n’est pas chose aisée et rares sont les films qui peuvent se vanter d’avoir frappé un très grand coup dès le début, au point de marquer les spectateurs dès le premier quart d’heure. En voici cinq qui ont largement passé cette épreuve.
Quels films regarder pour prendre sa dose d’horreur tout en restant dans l’ambiance des fêtes ? À vous de choisir parmi cette sélection de dix films d’horreur de Noël.
Ça y est, on se pèle bien le fion, y a des guirlandes partout, Starbucks a sorti ses gobelets rouges, les catalogues de jouets encombrent nos boîtes aux lettres et les rues sont envahies par des armées de Pères Noël. C’est la saison, alors qu’on fête Noël ou pas, qu’on aime Noël ou pas, on peut difficilement y échapper. Mais c’est pas ça qui va nous empêcher de faire le plein de giclées de sang et de membres qui volent, parce que fort heureusement, le cinéma de genre ne manque pas de ressources – surtout en ce qui concerne Noël.
Voici donc une petite liste (sans classement, je vous ai déjà dit mille fois que j’aimais pas ça, ça commence à bien faire) de films à regarder au coin du feu, avec une grosse tasse de chocolat chaud (avec crème fouettée et petits marshmallows si vous êtes des vrai-e-s) et des chaussettes en pilou-pilou, en attendant de farcir la dinde et d’ouvrir ses cadeaux.
Vous vous sentez un peu chafouin en cette nuit de pleine lune ? Il est peut-être temps de réviser vos classiques pour mieux identifier vos symptômes.
C’est la pleine lune et vous ne vous sentez pas trop dans votre assiette ? Votre pilosité n’en fait qu’à sa tête, vos articulations vous font souffrir et votre estomac ne semble plus se satisfaire de vos repas habituels ? Deux solutions : soit vous avez 85 ans, soit vous auriez dû faire examiner cette petite morsure de chien sauvage d’un peu plus près.
Histoire de bien vous mettre dans l’ambiance et de vous aider dans vos recherches pour mieux comprendre ce qui vous arrive, je vous invite donc à dépoussiérer les grands classiques du genre à travers une petite sélection (non-exhaustive et sans ordre de préférence parce que c’est trop méchant). Vous y trouverez plusieurs cas de figure qui vous aideront peut-être à identifier votre problème et à trouver deux ou trois solutions efficaces.
Les films d’horreur, c’est pas que de la tripaille et du sang, c’est aussi de la tendresse, de l’amour, des blagues et des numéros de danse complètement ridicules. La preuve par dix.
La danse et les années 80, c’est une grande histoire d’amour dont les conséquences se font encore sentir de nos jours, lorsqu’on atteint un certain taux d’alcoolémie en soirée et qu’on décide de danser comme des gros ringards pour faire marrer les copains. Rien dans les chorégraphies de cette décennie n’est à garder, mais on est quand même bien contents que tout ça soit arrivé, parce qu’aujourd’hui on peut s’en moquer sans retenue.
Et je ne sais pas si vous vous en étiez déjà rendus compte, mais les films d’horreur des années 80 regorgent de belles scènes de danse ringardes à souhait, qui font le bonheur des amateurs de kitsch et de bon goût (vu que les coupables finissent bien souvent découpés en morceaux, bien fait). La preuve en dix exemples.
1. Prom Night, de Paul Lynch (1980)
Comme j’en ai déjà parlé plus longuement il y a quelque temps, on va passer rapidement sur la scène de danse de Prom Night, qui rassemble Jamie Lee Curtis et Casey Stevens dans un numéro endiablé qui me rend presque triste de ne pas avoir été ado au début des années 80. Presque. J’attends toujours de trouver la personne qui acceptera de reproduire cette chorégraphie en public avec moi, ceci dit. Quelque chose me dit que je vais attendre encore longtemps (mais j’ai toujours été d’un naturel optimiste).
Pour bien vous mettre en condition pour Halloween, voici 10 scènes qui vont vous faire sursauter, crier et peut-être pleurer. C’est cadeau, bisous.
Le coeur est un muscle. Et comme tous les muscles, il a besoin d’être échauffé. Du coup, pour vous mettre en condition et vous préparer à flipper vos races le 31 octobre prochain, je vous ai concocté une petite liste de scènes de films d’horreur garanties 100% génératrices de sursauts. De quoi bien entrainer vos petits coeurs sensibles.
Alors par contre, deux mises en garde :
Si vous n’avez pas vu les films que je cite et que vous avez l’intention de les voir un jour, ne regardez pas les vidéos. Y a du gros spoiler à prévoir, et ça risquerait de complètement vous gâcher l’expérience.
Si vous êtes du genre grosse flippette, passez votre chemin – mais je pars du principe que si vous lisez le Blog Horreur, c’est que vous avez un minimum de bouteille en ce qui concerne les petites trouilles du quotidien.
Allez hop, accrochez-vous à vos slips, c’est parti.
Découvrez le top 20 des meilleurs films d’horreur de l’histoire grâce aux classements de 37 blogueurs recueillis par le site des Ingoruptibles !
HEY HO ÇA DORT LÀ D’DANS OU QUOI ?!
Ouais bon ceci dit il fait un temps à hiberner, alors je vous en veux pas (que tous ceux qui se trouvent dans les rares coins de la France où la météo est cohérente avec la date se taisent sinon ça va chauffer pour leurs petits culs). Mais du coup, au lieu de déprimer, j’ai un petit truc à vous proposer pour vous occuper.
Il s’agit du top 20 des meilleurs films d’horreur selon les blogueurs de notre belle contrée. D’où ça sort ? D’une initiative merveilleuse des Ingoruptibles, qui ont contacté tout un tas de gens chouettes pour leur demander de faire tourner leur Top 20 perso. Évidemment, j’ai dit « gens chouettes », donc vous vous doutez bien que j’en fais partie – j’ai moi aussi partagé mes 20 films d’horreur préférés. Sauf qu’ils sont pas bêtes chez les Ingoruptibles, plutôt que de vous balancer les Top 20 de tout le monde d’un coup d’un seul, ils ont confectionné un top 20 récapitulatif à l’aide de savants calculs (j’dis ça parce qu’en lisant la technique utilisée pour compter les points j’ai rien compris) (mais j’ai passé un bac L aussi alors hein).
Sauras-tu retrouver le titre du film occupant la 20ème place du classement ?
Ils ont donc sondé 37 blogueurs ciné issus de 27 blogs spécialisés pour réaliser ce Top 20 universel, et le classement final constitue une bonne base pour démarrer un merveilleux marathon étalé sur un petit mois, par exemple.
Joyeux vendredi 13 ! Afin de célébrer cette belle journée dans les règles, repassons nous quelques unes des meilleures tueries de Jason Voorhees.
Eh bah oué hein, forcément, quand on marine dans le cinéma de genre, on peut difficilement éviter de penser à Jason chaque vendredi 13 qui passe. Sauf qu’à chaque fois qu’un vendredi 13 passe, je m’y prends dix fois trop tard pour faire un article spécial yeehoo trop la fête – mais cette fois, j’me ferais pas avoir. Je m’y suis prise super à l’avance (à l’heure où j’écris ces lignes, nous sommes le 4 décembre 2011) (non, c’est faux, on est mercredi 11 avril, mais quand même, ça reste vachement en avance pour moi).
Voici donc neuf des meilleures mises à mort de Jason Voorhees, qui a beau être complètement débile, ça l’empêche pas d’avoir de la ressource. Niveau créativité, il sait à peu près y faire – même si on l’aime vraiment beaucoup quand il manie la machette, je maintiens ma théorie selon laquelle il serait capable de massacrer dix personnes avec un trombone et un ticket de métro.
C’est Halloween ! Et à cette occasion, je vous ai concocté une petite sélection de slashers pour sublimer vos soirées popcorn & bonbons chimiques. Une sélection qui fait crier « MAIS IL EST CON LUI OU QUOIIII LÀÀÀ ? », « MAIS NON VOUS SÉPAREZ PAS BANDE D’IMBÉCILES ! » ou encore « MAIS T’ES GOGOLE OU QUOI ? IL EST DERRIÈRE TOI ! DERRIÈRE TOOOIIII !!! ».
C’est Halloween ! Tralalalala, tralalalalilala ! La meilleure période de l’année ! (non en vrai ce serait la meilleure si c’était en plein mois d’août, mais quelque chose me dit que l’ambiance ne serait pas tout à fait la même)
Pour éviter de me contenter de vous ressortir la sélection de films pour Halloween de l’année dernière, je me suis imposé un thème pour cette édition 2011 : les slashers. Et pas n’importe lesquels – ce serait trop facile. Même règle que l’année dernière : on ne s’occupe pas des classiques, parce que si je vous dis « ouais bah regardez Halloween, Les Griffes de la Nuit et Vendredi 13 et ciao », vous allez me dire que je vous prends pour des cons (mais si vous les avez vraiment pas vus, vous pouvez aussi en profiter pour y remédier) (à chaque fois j’me dis « tiens, faudrait faire une liste des classiques à ne surtout pas manquer », mais elle ferait 100km).
Bref. Faisons un petit tour des slashers moins connus et trop sous-estimés de ce monde, histoire de leur rendre un peu justice. Comme l’année dernière, cette liste sert aussi à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris, parce qu’ils ont aussi besoin d’amour.
1. April Fool’s Day
April Fool’s Day, dont le titre français est « Week-end de Terreur« , parce qu’apparemment c’était trop dur de l’intituler Poisson d’Avril, est un slasher sorti en 1986 et réalisé par Fred Walton (qui nous a offert le merveilleux When A Stranger Calls, sorti en 1979 – à voir également). Neuf étudiants passent le weekend dans la maison de l’un d’entre eux, située sur une petite île au milieu de nulle part, et se font dégommer un par un. Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu ça quelque part.
Raconté comme ça, forcément, ça fait pas plus envie qu’un autre slasher. Mais en plus d’offrir quelques morts bien sympathiques, April Fool’s Day est plein de petites surprises qui vous feront sautiller de joie. De plus, et c’est assez rare pour être souligné en rouge et en gras : les acteurs sont bons. Ouais je sais, ça parait dingue, mais c’est vrai. C’est un des éléments qui fait d’April Fool’s Day un film très réconfortant. Je vous le conseille pour Halloween, mais il est également parfait pour les dimanches de lose sous la couette. Un must-see pour les fans de slashers. (en revanche, ne vous arrêtez pas sur la version 2008 qui n’a rien à voir et qui ne vaut vraiment pas la peine).
2. Cherry Falls
Cherry Falls est un slasher sorti en 2000, et qui, à première vue, n’a rien d’exceptionnel. Une petite ville américaine, un maniaque en liberté et des lycéens qui tombent comme des mouches – ça c’est pour la première couche. En grattant un peu, on s’aperçoit que cette ville cache un terrible secret, une histoire vieille de 25 ans qui revient hanter les adultes de la ville – et qui décide de s’en prendre à leurs enfants (non, malgré les apparences, je ne parle pas des Griffes de la Nuit). Et là, ça se corse un peu : les meurtres se succédant jour après jour, on finit par se rendre compte que toutes les victimes étaient… vierges. Les lycéens réagissent alors de manière tout à fait logique en organisant une méga fête pour permettre à tous ceux qui ne l’ont pas encore fait de perdre leur virginité et ainsi sauver leur peau. Voilà. Cherry Falls, c’est l’histoire d’un tueur de puceaux.
On y retrouve Brittany Murphy en final girl, et c’est drôle. C’est un film qui ne se prend pas du tout au sérieux (en même temps, ce serait un peu compliqué) et qui vous plonge dans un état nostalgique des 90’s-début 00’s en vous berçant doucement du début à la fin.
3. Hatchet
J’ai déjà fait une revue complète de Hatchet ici, mais je vais résumer rapidement pour ceux qui auraient la flemme de tout lire : réalisé par Adam Green (Frozen), Hatchet a connu un succès quasi-immédiat et presque unanime auprès des fans du genre. Certains s’accordent même à dire qu’il est déjà devenu culte (par contre, pour le 2, c’est vachement plus divisé). Ça se passe dans le bayou, en pleine période de Mardi Gras, y a Tony Todd et Robert Englund, un gros type déformé qui tue des gens et des victimes drôles jusqu’à leur mort. Difficile de ne pas aimer.
J’insiste lourdement sur les morts : elles sont COOL. Sales, violentes et douloureuses, mais COOL. Les effets spéciaux sont parfaits, la dernière fois que j’ai vu le film c’était en 2010 et j’ai encore vachement mal aux cervicales en repensant à une mort en particulier. Le duo Ben (Joel David Moore) et Marcus (Deon Richmond) est proche du duo comique, et c’est un plaisir de les voir tenter d’échapper au gros vilain Victor Crowley (incarné par le géant Kane Hodder, connu pour avoir incarné Jason Voorhees à quatre reprises). Bref, Hatchet, c’est du pur bonheur, une lettre d’amour aux fans de slashers, et une belle collection de morts mémorables.
4. Sleepaway Camp
Je vous ai également parlé de Sleepaway Camp ici, mais je vous fais la version courte : il faut à TOUT PRIX voir ce film. On ne peut pas être fan de films d’horreur, et plus précisément de slashers, et ne pas avoir vu ce film. C’est tout bonnement inenvisageable. Ouais je sais, ça fait un peu intégriste dit comme ça, surtout que je me suis récemment rendue compte que j’avais une légère tendance au premier degré hardcore quand il s’agit de cinéma d’horreur, mais j’insiste. Sleepaway Camp est pire que culte et il est indispensable. Bon, si je continue à vous le survendre vous allez vous attendre à un Psychose bis et me casser la gueule, mais c’est un risque à prendre.
Angela Baker vit chez sa tante avec son cousin Ricky depuis que son père et son frère ont été tués dans un accident de bateau. Pour les vacances d’été, elle et Ricky sont envoyés en camp de vacances – mais pour Angela, qui est réservée, timide et craintive, ça ne va pas être facile tous les jours. D’autant plus qu’un tueur rôde et s’amuse à déglinguer tout le monde, personnel de la colo et enfants, en faisant preuve de beaucoup d’imagination. En plus d’être consistant du début à la fin, d’offrir aux spectateurs un merveilleux aperçu de la mode dans les années 80 ainsi que des morts inventives, Sleepaway Camp se paye également le luxe de vous retourner le cerveau. Un putain de régal que je prends plaisir à revisiter aussi souvent que possible.
5. Clownhouse
Je vais être honnête avec vous : Clownhouse n’est pas un « bon » film. Si vous n’en avez jamais entendu parler, c’est normal, il n’a pas marqué grand monde. Mais si je ne vous recommandais que des bons films, ça se saurait, et je pense que Clownhouse a besoin de notre amour. Déjà, y a une histoire de clowns, et si vous faites partie de la génération Pennywise, vous n’êtes pas super fans de ces psychopathes bariolés. Donc bim, 50 points d’avance pour Clownhouse qui nous renvoie à une de nos plus grandes peurs.
Trois jeunes frères passent la nuit seuls chez eux pendant que leurs parents sont absents et sont attaqués par des psychopathes échappés d’un asile qui ont volé l’identité des clowns du cirque du coin. Point bonus : l’un des trois frères a déjà une peur bleue des clowns (et visiblement un karma de merde). Je sais pas pourquoi, mais les films des années 80 avec des enfants comme personnages principaux – encore plus quand ce sont des films d’horreur – me fascinent totalement. Ils dégagent quelque chose de spécial, et font également partie des films réconfortants dont je n’arrête pas de vous parler. Clownhouse est un des meilleurs exemples – l’ambiance 80’s, le grain du film, la bande-son, tout y est, c’est comme un vieux doudou sur pellicule.
Bref, Clownhouse est vraiment chouette.
Voilà voilà, c’est tout pour cette année. J’ai choisi de m’arrêter à cinq films parce que sinon j’étais partie pour vous pondre une encyclopédie, mais comme il y a des chances pour que ce soit des films dont vous n’avez jamais entendu parler, ça ira. Si vous les avez déjà tous vus… revoyez-les. Et faites en profiter vos potes, bande d’égoïstes.
Et surtout, JOYEUX HALLOWEEN LES ENFANTS ! Envoyez-moi des bonbons pliz, j’commence déjà à manquer.
A l’occasion de la sortie de Shark 3D ce mercredi 21 septembre, voici un petit top non exhaustif (et sans véritable classement, trop dur de choisir) des meilleures scènes de films de requins.
Les films de requins, c’est MEGA COOL. Ça fait peur même quand c’est un peu nul, parce que, qui n’a pas peur des requins dans ce monde ? qui ? celui qui répond « moi j’ai pas peur j’les kiffe trop j’veux trop aller les étudier dans la mer quand chrai grand » est un fou.
Allez, l’été est fini, on peut se faire des marathons de films de requins interminables sans trop souffrir des conséquences et on a un peu moins d’un an pour tout oublier, c’est maintenant ou jamais.
1. Les Dents de la Mer
Oui non parce que j’allais quand même pas commencer cette liste sans passer par LE film qui a donné naissance à tous les autres, celui qui a traumatisé vingt-cinq générations (oui, il est si vieux que ça) et qu’on nous repasse tous les étés, au cas où on aurait oublié de flipper cette fois ci.
La scène d’ouverture des Dents de la Mer me met toujours aussi mal à l’aise, même après l’avoir vue un million et demi de fois. L’isolation, l’obscurité, les attaques qui se font d’abord hésitantes puis franchement agressifs, la détresse la nana, et le fait que ça semble durer une éternité : AU SECOURS.
2. Mega Shark vs. Giant Octopus
…J’avais préparé un petit texte d’introduction, mais là je pense que ça se passe clairement de commentaire. Pensez-y la prochaine fois que vous prendrez l’avion.
On enchaîne avec ce qui est peut-être l’une de mes scènes préférées du monde entier de tout le cinéma de l’univers. La mort de Samuel L. Jackson dans Deep Blue Sea. Quand on ne s’y attend pas (et que personne ne vous gâche la surprise dans une liste à la con), elle a un effet extraordinaire sur le spectateur insouciant. On veut croire au discours victorieux de Tonton Sam, on veut voir ce requin réduit en rillettes, ON VEUT SURTOUT QUE CE FILM SE TERMINE. Mais rien que pour cette scène, pour Samuel L. Jackson, et pour LL Cool J et son perroquet, ça vaut quand même le coup.
4. Shark Attack 3 : Megalodon
Probablement le PIRE film de requins du monde entier, indétrônable, exceptionnel, extraordinaire, mythique et fabuleux. Si vous devez voir un film de requins pourri dans votre vie (préférablement avec le cerveau un peu à l’envers et une bande de potes à l’humour facile), c’est Megalodon. Ce film remporte le prix des meilleurs effets spéciaux du cosmos et réunit les plus grands acteurs de l’histoire du cinéma. Un vrai bonheur.
5. Zombi 2
Un zombie et un requin ? C’EST NOËL ! Un zombie qui se bat au fond de l’océan contre un requin ? Meilleure scène du monde (nan j’me répète pas, arrêtez). Ok, c’est pas un film de requin donc techniquement je triche un peu (complètement, même), mais je ne pouvais pas ne pas vous offrir cette merveille. Lucio Fulci bat tous les records d’originalité avec ce combat de l’extrême entre un zombie aquatique et un squale. Olé !
Et en cadeau bonux, la meilleur mort de requin. Merci Les Dents de la Mer 4 (apparemment je m’ai trompée, c’était pas le 3, merci pour vos corrections) pour cette scène EXTRAORDINAIRE qui mériterait 25 Oscars à elle toute seule, rien que pour ce requin qui RUGIT.