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The Collection (2012) : Attrapez-les tous !

The Collection, réalisé par Marcus Dunstan et suite directe du film The Collector, est une séquelle réussie et originale que je vous recommande chaudement.

thecollection

Avant de commencer cette revue, je vais être obligée d’écrire une micro-critique de The Collector – puisque The Collection en est la suite directe. Pourquoi The Collector n’a pas droit à son article à lui tout seul ? Parce que la première fois que je l’ai vu, j’ai tout bonnement détesté le film. Mais comme j’ai adoré The Collection et que j’ai envie d’en parler, ben je suis obligée de me farcir une petite revue de The Collector et je vous avouerais que ça m’enchante pas des masses – mais j’essaye de faire les choses correctement par ici alors j’ai pas le choix.

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Detention (2011) – Concentré de LSD

Detention, réalisé par Joseph Kahn et disponible en DVD à partir du 8 août 2012, est un slasher/teen movie/ovni de première classe qu’il ne faut laisser passer sous aucun prétexte.

Hey, vous vous êtes déjà demandé ce que ça donnerait d’écrire un film d’horreur pour ados sous crystal meth ? Coup de bol pour votre santé mentale, Joseph Kahn a tenté l’expérience, et ça a donné Detention.

Tenter de résumer le film dans ses grandes lignes reviendrait à lui cracher sur les pompes, alors je me contenterai de placer le décor : un lycée, des ados, une loseuse, Riley (Shanley Caswell) amoureuse d’un mec cool, Clapton (Josh Hutcherson) lui-même amoureux de la bimbo blonde de service, Ione (Spencer Locke), un tueur tout droit sorti du dernier slasher à la mode et beaucoup, beaucoup, beaaaaucoup de bordel autour. Disons qu’il fallait un point de départ au film, et que ce que je viens de décrire se contente uniquement de mettre les choses en place – avant de tout exploser, encore et encore, sans jamais s’arrêter. Detention est un film unique. Je sais qu’on dit tous ça pour plein de films dès qu’on a un coup de coeur, mais là c’est même plus une question d’affinités, c’est un fait indéniable : Detention est 100% unique, 100% original, 100% taré.

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The Tripper (2006)

Ross Stewart est de retour avec une nouvelle revue pour vos beaux yeux ! Cette fois, il vous parle de The Tripper, un film réalisé par David Arquette (oui, Dewey en personne) dans lequel Ronald Reagan tue des hippies. À peu près.

En cette période électorale américaine, quel meilleur sujet pour une revue qu’un slasher satirique avec Ronald Reagan ? Bon OK, c’est pas vraiment l’ancien président américain, juste un cinglé portant un masque et massacrant des hippies à tour de bras. N’empêche, ça donne à réfléchir sur le manque d’engagement de nos politiciens aujourd’hui !

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Joy Ride (2001) – Fallait pas se moquer…

Deux frères qui font un canular à un routier un peu rancunier, ça donne une course poursuite infernale sur les routes des zétazunis, et ça s’intitule Joy Ride.

J’avais encore jamais vu Joy Ride de John Dahl parce que j’ai un peu de retard (onze ans quoi, une bagatelle), mais je ne regrette pas d’avoir attendu. Au moins j’ai pu avoir le plaisir de le découvrir ce week-end, et j’ai passé un assez bon moment. Faut dire que depuis quelque temps j’essaye de déterrer tous les films à tendance slasher/fou furieux qui traque des jeunes cons datant de la fin des 90’s au début des 00’s, alors j’étais bien contente.

Le canular qui tue des gens

Joy Ride, c’est l’histoire de deux frères, Lewis (Paul Walker) et Fuller (Steve Zahn) qui profitent d’un road trip pour faire joujou avec une vieille CB. Lewis est en route pour aller chercher Venna (Leelee Sobieski) sur le chemin de leur ville natale, et se retrouve à sortir son grand frère de prison au passage. Et comme Fuller est du genre fouteur de merde, tout part en vrille quand il décide de jouer une sale blague à un routier via CB – Rusty Nail. Il force Lewis à prendre une voix de femme et à dragouiller Rusty Nail en se faisant passer pour une certaine Candy Cane qui aimerait bien retrouver son interlocuteur dans une chambre d’hôtel pour faire des galipettes.

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La Cabane dans les Bois – La Revue (0% de spoilers)

La Cabane dans les Bois (The Cabin in the Woods en V.O., un poil plus classe) est un film réalisé par Drew Goddard et produit/co-écrit par Joss Whedon qui sort en France le 2 mai et qui pourrait bien révolutionner le cinéma de genre.

Au début, je voulais me contenter de quelques mots pour cette revue, et ça aurait donné quelque chose comme « WOW. PUTAIN. WOW. JE. WOW. ALLEZ LE VOIR. CIAO. », mais après je me suis dit que vous méritiez quand même un peu mieux que ça. J’ai donc laissé la nuit me porter conseil, le temps de commencer à atterrir après cette immense claque, et je me suis mise au boulot. Mais si avant même de lire cette revue vous vous êtes dit « rien à foutre, de toute façon, j’vais le voir » alors fermez cette fenêtre. Ne lisez pas ma revue, ne rematez pas les bandes-annonces et clips divers, contentez-vous du peu que vous savez pour le moment et allez le voir – après vous aurez le droit de revenir. Mais moins on en sait sur La Cabane dans les Bois, mieux c’est.

Pour les autres, les désobéissants et les impatients, commençons donc cette revue qui, je le rappelle, contient absolument ZÉRO spoiler – je ne parle strictement pas de l’intrigue, donc vous pouvez quand même y aller tranquille.

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Les meilleures mises à mort de Jason Voorhees – Joyeux Vendredi 13 !

Joyeux vendredi 13 ! Afin de célébrer cette belle journée dans les règles, repassons nous quelques unes des meilleures tueries de Jason Voorhees.

Eh bah oué hein, forcément, quand on marine dans le cinéma de genre, on peut difficilement éviter de penser à Jason chaque vendredi 13 qui passe. Sauf qu’à chaque fois qu’un vendredi 13 passe, je m’y prends dix fois trop tard pour faire un article spécial yeehoo trop la fête – mais cette fois, j’me ferais pas avoir. Je m’y suis prise super à l’avance (à l’heure où j’écris ces lignes, nous sommes le 4 décembre 2011) (non, c’est faux, on est mercredi 11 avril, mais quand même, ça reste vachement en avance pour moi).

Voici donc neuf des meilleures mises à mort de Jason Voorhees, qui a beau être complètement débile, ça l’empêche pas d’avoir de la ressource. Niveau créativité, il sait à peu près y faire – même si on l’aime vraiment beaucoup quand il manie la machette, je maintiens ma théorie selon laquelle il serait capable de massacrer dix personnes avec un trombone et un ticket de métro.

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April Fool’s Day (1986) – Joyeux 1er avril !

En ce beau dimanche de 1er avril, je vous propose de (re)découvrir April Fool’s Day, un slasher un peu particulier réalisé par Fred Walton (When A Stranger Calls), dans lequel de beaux et riches jeunes cons se font joliment massacrer.

Au début j’voulais vous faire une blague de merde genre « J’QUITTE LES FILMS D’HORREUR POUR ME METTRE AUX COMÉDIES ROMANTIQUES » mais en fait j’me suis dit que vous méritez mieux que ça – alors voilà, pouf, revue de film.

Chaque fête, chaque évènement marquant de l’année se doit d’avoir son ou ses slashers attitrés – et il en va de même pour le 1er avril (j’attends encore le slasher sur le thème de l’année bisextile, j’ai déjà un script à proposer, écrit sur une serviette en papier, si y a des volontaires). Mais comment fait-on pour transposer cette journée placée sous le signe de la blagounette dans un univers un peu plus sanglant ? C’est très simple. On choisit une jeune fille de bonne famille (Muffy) possédant une maison de campagne située au milieu d’une île, loin de toute civilisation, on la fait organiser une super teuf pour ses p’tits potes, on fait deux trois p’tites blagues – et on lance un tueur mystérieux là-dedans, et BIM.

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P2 – 2ème sous-sol (2007) – Pour les phobiques des parkings

P2 (2ème sous-sol en VF) – que j’appellerai affectueusement Pitou – est un film de Franck Khalfoun dans lequel Rachel Nichols et ses énormes seins se retrouvent pris au piège et traqués dans un parking souterrain.

J’avais entendu parler de P2 à sa sortie en 2007, et avant même que je commence à me poser la question de si je voulais le voir ou non, il m’a semblé ne lire que des critiques négatives du film. Du coup, je me suis dit que j’avais autre chose à faire que de consacrer mon temps au décolleté de Rachel Nichols, et j’ai totalement oublié le film. Et puis, histoire de ne pas mourir idiote, je me suis décidée à y jeter un oeil. Et finalement, j’ai pas du tout détesté. J’ai pas adoré non plus, mais je m’attendais à quelque chose de tellement différent, et de tellement plus naze, que j’ai été agréablement surprise. Et c’est pile dans le thème actuel puisque ça se passe un 24 décembre. (note : j’ai écrit cette revue bieeeen avant le 24 décembre, ceci expliquant cela. preuve que je suis une grosse connasse qui retient ses revues en otage pendant mille ans) (et c’est donc pour ça que vous avez droit à deux revues en un jour, et non parce que je me suis mis un coup de pied au cul niveau productivité).

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Mask Maker/Maskerade (2011)

Mask Maker (ou Maskerade) est un slasher un peu très nul réalisé par Griff Furst qui a misé la moitié de son budget sur un écran vert (OKAY J’EXAGÈRE) et qui aurait presque pu être bien s’il n’avait pas été nul (j’ai un doctorat de Logique keskia).

(non, malgré les apparences, l’homme sur ce poster n’est pas Michael Myers)

Après une scène d’ouverture en flashback avec une histoire de femme française qui tue un bébé dans une bourgade des États-Unis pour sauver son garçon visiblement malade (mais on sait ni de quoi ni pourquoi), on revient en 2011 pour découvrir Jennifer et Evan, le couple le plus insupportable de l’histoire du cinéma (ok, il est possible que j’exagère). Mais je sais pas, dès le début je les sentais pas ces deux là. Pour vous prouver un peu leur degré d’intelligence : pour l’anniversaire de Jennifer, Evan l’emmène dans sa petite jeep pour lui montrer sa super surprise. Et c’est quoi cette surprise ? Une vieille baraque. Qu’Evan a achetée pour lui et Jennifer. Précision : Evan et Jennifer sont actuellement étudiants à l’université. Et monsieur dépense ses économies dans une vieille baraque déglinguée pour son amoureuse (qui apprécie moyennement mais finit par se faire à l’idée).

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Sélection de slashers pour Halloween

C’est Halloween ! Et à cette occasion, je vous ai concocté une petite sélection de slashers pour sublimer vos soirées popcorn & bonbons chimiques. Une sélection qui fait crier « MAIS IL EST CON LUI OU QUOIIII LÀÀÀ ? », « MAIS NON VOUS SÉPAREZ PAS BANDE D’IMBÉCILES ! » ou encore « MAIS T’ES GOGOLE OU QUOI ? IL EST DERRIÈRE TOI ! DERRIÈRE TOOOIIII !!! ».

C’est Halloween ! Tralalalala, tralalalalilala ! La meilleure période de l’année ! (non en vrai ce serait la meilleure si c’était en plein mois d’août, mais quelque chose me dit que l’ambiance ne serait pas tout à fait la même)

Pour éviter de me contenter de vous ressortir la sélection de films pour Halloween de l’année dernière, je me suis imposé un thème pour cette édition 2011 : les slashers. Et pas n’importe lesquels – ce serait trop facile. Même règle que l’année dernière : on ne s’occupe pas des classiques, parce que si je vous dis « ouais bah regardez Halloween, Les Griffes de la Nuit et Vendredi 13 et ciao », vous allez me dire que je vous prends pour des cons (mais si vous les avez vraiment pas vus, vous pouvez aussi en profiter pour y remédier) (à chaque fois j’me dis « tiens, faudrait faire une liste des classiques à ne surtout pas manquer », mais elle ferait 100km).

Bref. Faisons un petit tour des slashers moins connus et trop sous-estimés de ce monde, histoire de leur rendre un peu justice. Comme l’année dernière, cette liste sert aussi à la rubrique Comité de Défense des Films Pourris, parce qu’ils ont aussi besoin d’amour.

1. April Fool’s Day

April Fool’s Day, dont le titre français est « Week-end de Terreur« , parce qu’apparemment c’était trop dur de l’intituler Poisson d’Avril, est un slasher sorti en 1986 et réalisé par Fred Walton (qui nous a offert le merveilleux When A Stranger Calls, sorti en 1979 – à voir également). Neuf étudiants passent le weekend dans la maison de l’un d’entre eux, située sur une petite île au milieu de nulle part, et se font dégommer un par un. Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu ça quelque part.

Raconté comme ça, forcément, ça fait pas plus envie qu’un autre slasher. Mais en plus d’offrir quelques morts bien sympathiques, April Fool’s Day est plein de petites surprises qui vous feront sautiller de joie. De plus, et c’est assez rare pour être souligné en rouge et en gras : les acteurs sont bons. Ouais je sais, ça parait dingue, mais c’est vrai. C’est un des éléments qui fait d’April Fool’s Day un film très réconfortant. Je vous le conseille pour Halloween, mais il est également parfait pour les dimanches de lose sous la couette. Un must-see pour les fans de slashers. (en revanche, ne vous arrêtez pas sur la version 2008 qui n’a rien à voir et qui ne vaut vraiment pas la peine).

2. Cherry Falls

Cherry Falls est un slasher sorti en 2000, et qui, à première vue, n’a rien d’exceptionnel. Une petite ville américaine, un maniaque en liberté et des lycéens qui tombent comme des mouches – ça c’est pour la première couche. En grattant un peu, on s’aperçoit que cette ville cache un terrible secret, une histoire vieille de 25 ans qui revient hanter les adultes de la ville – et qui décide de s’en prendre à leurs enfants (non, malgré les apparences, je ne parle pas des Griffes de la Nuit). Et là, ça se corse un peu : les meurtres se succédant jour après jour, on finit par se rendre compte que toutes les victimes étaient… vierges. Les lycéens réagissent alors de manière tout à fait logique en organisant une méga fête pour permettre à tous ceux qui ne l’ont pas encore fait de perdre leur virginité et ainsi sauver leur peau. Voilà. Cherry Falls, c’est l’histoire d’un tueur de puceaux.

On y retrouve Brittany Murphy en final girl, et c’est drôle. C’est un film qui ne se prend pas du tout au sérieux (en même temps, ce serait un peu compliqué) et qui vous plonge dans un état nostalgique des 90’s-début 00’s en vous berçant doucement du début à la fin.

3. Hatchet

J’ai déjà fait une revue complète de Hatchet ici, mais je vais résumer rapidement pour ceux qui auraient la flemme de tout lire : réalisé par Adam Green (Frozen), Hatchet a connu un succès quasi-immédiat et presque unanime auprès des fans du genre. Certains s’accordent même à dire qu’il est déjà devenu culte (par contre, pour le 2, c’est vachement plus divisé). Ça se passe dans le bayou, en pleine période de Mardi Gras, y a Tony Todd et Robert Englund, un gros type déformé qui tue des gens et des victimes drôles jusqu’à leur mort. Difficile de ne pas aimer.

J’insiste lourdement sur les morts : elles sont COOL. Sales, violentes et douloureuses, mais COOL. Les effets spéciaux sont parfaits, la dernière fois que j’ai vu le film c’était en 2010 et j’ai encore vachement mal aux cervicales en repensant à une mort en particulier. Le duo Ben (Joel David Moore) et Marcus (Deon Richmond) est proche du duo comique, et c’est un plaisir de les voir tenter d’échapper au gros vilain Victor Crowley (incarné par le géant Kane Hodder, connu pour avoir incarné Jason Voorhees à quatre reprises). Bref, Hatchet, c’est du pur bonheur, une lettre d’amour aux fans de slashers, et une belle collection de morts mémorables.

4. Sleepaway Camp

Je vous ai également parlé de Sleepaway Camp ici, mais je vous fais la version courte : il faut à TOUT PRIX voir ce film. On ne peut pas être fan de films d’horreur, et plus précisément de slashers, et ne pas avoir vu ce film. C’est tout bonnement inenvisageable. Ouais je sais, ça fait un peu intégriste dit comme ça, surtout que je me suis récemment rendue compte que j’avais une légère tendance au premier degré hardcore quand il s’agit de cinéma d’horreur, mais j’insiste. Sleepaway Camp est pire que culte et il est indispensable. Bon, si je continue à vous le survendre vous allez vous attendre à un Psychose bis et me casser la gueule, mais c’est un risque à prendre.

Angela Baker vit chez sa tante avec son cousin Ricky depuis que son père et son frère ont été tués dans un accident de bateau. Pour les vacances d’été, elle et Ricky sont envoyés en camp de vacances – mais pour Angela, qui est réservée, timide et craintive, ça ne va pas être facile tous les jours. D’autant plus qu’un tueur rôde et s’amuse à déglinguer tout le monde, personnel de la colo et enfants, en faisant preuve de beaucoup d’imagination. En plus d’être consistant du début à la fin, d’offrir aux spectateurs un merveilleux aperçu de la mode dans les années 80 ainsi que des morts inventives, Sleepaway Camp se paye également le luxe de vous retourner le cerveau. Un putain de régal que je prends plaisir à revisiter aussi souvent que possible.

5. Clownhouse

Je vais être honnête avec vous : Clownhouse n’est pas un « bon » film. Si vous n’en avez jamais entendu parler, c’est normal, il n’a pas marqué grand monde. Mais si je ne vous recommandais que des bons films, ça se saurait, et je pense que Clownhouse a besoin de notre amour. Déjà, y a une histoire de clowns, et si vous faites partie de la génération Pennywise, vous n’êtes pas super fans de ces psychopathes bariolés. Donc bim, 50 points d’avance pour Clownhouse qui nous renvoie à une de nos plus grandes peurs.

Trois jeunes frères passent la nuit seuls chez eux pendant que leurs parents sont absents et sont attaqués par des psychopathes échappés d’un asile qui ont volé l’identité des clowns du cirque du coin. Point bonus : l’un des trois frères a déjà une peur bleue des clowns (et visiblement un karma de merde). Je sais pas pourquoi, mais les films des années 80 avec des enfants comme personnages principaux – encore plus quand ce sont des films d’horreur – me fascinent totalement. Ils dégagent quelque chose de spécial, et font également partie des films réconfortants dont je n’arrête pas de vous parler. Clownhouse est un des meilleurs exemples – l’ambiance 80’s, le grain du film, la bande-son, tout y est, c’est comme un vieux doudou sur pellicule.

Bref, Clownhouse est vraiment chouette.

Voilà voilà, c’est tout pour cette année. J’ai choisi de m’arrêter à cinq films parce que sinon j’étais partie pour vous pondre une encyclopédie, mais comme il y a des chances pour que ce soit des films dont vous n’avez jamais entendu parler, ça ira. Si vous les avez déjà tous vus… revoyez-les. Et faites en profiter vos potes, bande d’égoïstes.

Et surtout, JOYEUX HALLOWEEN LES ENFANTS ! Envoyez-moi des bonbons pliz, j’commence déjà à manquer.