Pour fêter la sortie du septième film de la franchise, la chaîne YouTube Then & Now a sorti une petite rétrospective de notre rouquin préféré courant octobre, retraçant l’évolution de Chucky en presque 30 ans (le premier film de la franchise étant sorti en 1988).
On l’avait déjà aperçu dans La Malédiction de Chucky, mais cette fois c’est pour de bon : Andy Barclay (Alex Vincent) est bel et bien de retour dans la franchise qui l’a fait connaître pour affronter de nouveau la pire poupée de l’univers.
À ses côtés, on retrouve Nica (Fiona Dourif, fille de Brad, la voix de Chucky) légèrement traumatisée par les évènements du précédent volet, mais également Tiffany (Jennifer Tilly, mon amour) qui ne semble pas vouloir lâcher l’affaire non plus. Tout ce beau monde se retrouve donc de nouveau sous la coupe de Chucky, toujours aussi vénère, et toujours aussi coincé dans son petit corps en plastique. Le tout sous la direction de Don Mancini, le papa de la série.
Mon amour pour les années 90 est loin d’être un secret pour celles et ceux qui me suivent depuis longtemps, et comme je suis toujours à la recherche d’un nouveau prétexte pour le crier sur tous les toits, quel meilleur moyen que de les inscrire dans l’inauguration d’une nouvelle rubrique ?
Ça s’intitule Fashion Victims, parce que je suis une pro des bons mots, et c’est donc l’occasion de revenir sur les meilleurs looks de l’histoire du cinéma d’horreur à travers différents thèmes, pour se délecter de ce que les costumiers ont fait de mieux dans le genre.
Voici donc une première sélection des meilleurs styles vus dans les films d’horreur des années 90 – ce n’est qu’un premier épisode, parce qu’il y a beaucoup de matière, mais il fallait bien commencer quelque part…
Comme je vous l’ai déjà raconté dans cet article, Chucky, La Poupée de Sang, a été mon premier vrai traumatisme. C’était la première fois qu’un film d’horreur me faisait l’effet escompté, et je l’ai assez mal vécu. Et parmi les scènes qui m’ont marquée, celle du meurtre de la maîtresse figure probablement sur la plus haute marche du podium (avec en deuxième position la scène dans l’usine de jouets à la fin, quand Chucky se plante un couteau dans le moignon pour s’en faire une arme et celle où il traque Kyle dans sa chambre en la traitant de (sale ? grosse ?) pute, si mes souvenirs de VF sont bons).
Vous connaissez ces vidéos blindées jusqu’à la glotte de malaise total filmées lors de séances de « rigologie », cette thérapie par le rire ? C’est gênant, hein ? Bon, il paraît que ça fait du bien, alors j’évite de trop juger parce que c’est méchant, mais merde, ça fout quand même sacrément les boules.
Si vous avez toujours rêvé de vous glisser dans la peau de Chucky, je tiens d’abord à signaler à la planète entière que c’est pas suuuuper sain comme idée, mais comme on n’est pas là pour juger les fantasmes des gens, je vais me contenter de réaliser vos rêves les plus fous. Enfin, pas personnellement, parce que j’ai des trucs à faire, mais à l’aide d’un petit jeu pour iPhone qui vient de sortir, spécialement pour faire la promo de La Malédiction de Chucky (disponible en DVD et Blu-ray pas plus tard que tout de suite maintenant).
En l’an de grâce 1988 sortait Jeu d’Enfant, un film réalisé par Tom Holland, mettant en scène une poupée rousse maléfique hantée par l’âme d’un tueur en série, Charles Lee Ray. Pour éviter de passer le reste de son existence dans un corps en latex, Charles tente de s’emparer du corps d’Andy, le petit garçon le plus mignon de l’histoire du cinéma d’horreur, laissant une trainée de cadavres sur son passage. C’est ainsi qu’est née la légende de Chucky, la poupée qui tue et qui traumatise ta race sur 78 générations, l’une des plus grandes icônes du cinéma de genre, qui a été un peu malmenée par des suites caricaturales, mais qu’on aime toujours retrouver.
Et voilà, Chucky est enfin de retour !
Ressuscité par Don Mancini, scénariste du Jeu d’Enfant de Tom Holland et créateur du mythe, il revient dans Curse of Chucky, un DTV qui sortira en Blu-ray et DVD le 8 octobre prochain aux États-Unis. Toujours doublé par Brad Dourif, Chucky partagera l’écran avec Fiona Dourif, la fille de Brad – une bien belle histoire de famille.
Eh les copains, on s’emmerderait pas un tout petit peu là, à Paris ? Il fait moche, il fait gris, il fait froid, on sait plus trop où on nage et ça commence à devenir légèrement relou ces histoires d’hiver à la con, tout ça. La solution ? Sortir. Mais pas pour aller faire les guignolos dans tous les bars de la capitale, nan, ça c’est pour quand il fera vraiment beau – mais en attendant j’ai un truc super cool à vous proposer.
Les copains de chez Panic! Cinéma ont mis le paquet pour leur programmation cette année, et il y a deux évènements en particulier que je vous interdis de rater. Si vous décidez de passer à côté, il vous faudra minimum un mot de vos parents et de votre médecin traitant, sinon j’y croirai pas.
The Room est un film légendaire, probablement le pire film jamais réalisé – ce qui en fait évidemment, selon nos critères, le meilleur film de l’univers. Si vous ne l’avez jamais vu, considérez votre vie comme étant profondément incomplète. Fort heureusement, je vous offre une chance de vous rattraper, grâce à la séance organisée par Panic! Cinéma en présence de Tommy Wiseau, le 16 février prochain.
Avec deux séances complètement sold out à 19h30 et 22h, ils ont été obligés d’en rajouter une troisième à 17h – pour laquelle il reste encore des places, alors magnez-vous. Pour réserver vos places, suivez le guide.
Si vous vous sentez l’âme d’un aventurier, je vous prierais de bien vouloir ramener vos petits culs à la soirée pyjama qui se déroulera le 2 mars à partir de minuit. Au programme : Le Flic de Beverly Hills II, Ghost, et… Chucky. Ben oui. Le but, c’est quand même de jouer le jeu à fond et de venir vêtus de votre plus beau pyjama (y aura de la concurrence, parole de scout). Il y aura également des jeux (comme Action ou Vérité, parce que sinon c’est pas une vraie soirée pyjama), des animations et des cadeaux.
Bonus : après toutes ces émotions, vous aurez droit à un petit déjeuner offert !
Pour réserver vos places, c’est par là.
Et pour jeter un oeil à la programmation de Panic! Cinéma pour les semaines à venir, allez donc voir par ici (pssst, y a Blade le 16 mars !).
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