Wrong Turn 5: Bloodlines, réalisé par Declan O’Brien, est un de ces films qui aurait mieux faire de rester une petite blague entre réalisateurs amateurs entre deux shots de Jägermeister.
Boooon… bon, bon, bon. Je croyais avoir eu ma dose de sequels moisites avec Grave Encounters 2 mais comme j’ai peur de rien (et que je suis un peu simplette sur les bords), j’ai enchaîné sur Wrong Turn 5.
Et alors là, pour le coup, j’y croyais pas du tout hein. Wrong Turn 3 m’avait déjà bien laminé la gueule question nullité, et Wrong Turn 4 m’avait presque agréablement surprise (sans trop exagérer non plus hein). Du coup, je me suis dit que Wrong Turn 5 se situerait, au mieux, juste entre les deux, et au pire au même niveau que Wrong Turn 3. Imaginez donc ma surprise lorsque je me suis rendue compte qu’il s’agissait du meilleur volet de toute la série. Surpassant le 1 et le 2 de très loin, Wrong Turn 5 se place au rang de chef d’oeuvre, complètement jouissif du début à la fin, au point de m…
…Eh nan mais j’déconne hein, bien sûr qu’il est pourrave.