Vous êtes en manque de vrais sursauts et d’histoires de maisons hantées réussies ? Courez donc voir The Conjuring de James Wan, parce que c’est vraiment cool.
[Insérez ici le discours habituel d’excuses pour l’absences de critiques régulières depuis quelque temps sans oublier une justification exagérée et insistante sur l’air de « j’ai trop de travail pardon je vous aime je reviens bientôt je vous le jure cette fois « ]
Voilà, maintenant qu’on s’est débarrassés du plus chiant, passons à la suite.
The Conjuring était probablement le film que j’attendais le plus cette année. J’avais placé tous mes espoirs sur les épaules frêles et délicates de James Wan et même si le fait qu’il nous ponde à nouveau un film de maison hantée avec Patrick Wilson dans le rôle principal me dérangeait un peu, j’avais confiance en lui et en ses capacités. Après tout, Insidious est l’un des films qui m’a le plus mis la pression depuis dix piges, et dont je m’acharne à vanter les mérites depuis sa sortie, sans me fatiguer. Alors, ai-je eu raison de parier sur James Wan et ses fantômes ? A-t-il réussi à nous ressortir le même thème en innovant et en nous traumatisant encore plus qu’avec Insidious ? Je ne peux pas répondre à votre place, mais en ce qui me concerne, la réponse est simple.