« The Reeds »
Réalisé par Nick Cohen
Écrire cette toute dernière revue pour l’édition 2010 de l’After Dark Horrorfest va s’avérer plus compliqué que ce que j’avais espéré. Je vais tenter de faire de mon mieux mais je ne vous promet rien, étant donné que je me sens incapable de pouvoir décrire de ce que je viens de voir. The Reeds est à l’opposé de ce à quoi on peut s’attendre en lisant le synopsis, et bien que ça puisse être une très bonne chose dans certains cas, j’ai du mal à l’accepter ici.
Prenez six jeunes personnes, mettez-les sur un bateau avec du shit et de l’alcool au milieu des roseaux (= de nulle part), remuez bien, et vous obtiendrez le parfait scénario de film d’horreur basique. Et si on y ajoute un truc/une personne qui rôde dans les dits roseaux qui tue apparemment les gens sur son passage, ainsi qu’une bande de jeunes rebelles, tout le monde devrait y trouver son compte. Ou pas.
Les acteurs sont impeccables, et passent de la joie à l’horreur en un quart de seconde tout en restant convaincants et quand ils meurent, ça fait un peu mal au cœur. Le cadre, encore une fois, est beau, c’est bien filmé, mais ça ne suffit pas. On passe la première demi-heure à croire qu’il va se passer une chose en particulier pour finalement passer sur une autre piste, qui finira par nous mener vers une troisième, complètement à l’opposé de ce qu’on croyait avoir deviné à plusieurs reprises. Le twist final lui aussi en amènera un autre, qui en amènera un autre, etc. Ça n’en finit jamais, et quand le générique est lancé, on se sent encore plus con qu’une heure avant. Il fait partie de ces films dont on sort en beuglant « J’ai rrrrrriiiiiiiien compris ! » et parfois j’aime bien, souvent j’aime pas. Comme là.
Au final, je me sens un peu « abandonnée » par ce film, comme s’il m’avait tenu la main pour me lâcher pile au moment où ça commençait à devenir intéressant. J’ai l’impression que Nick Cohen ne savait pas quoi choisir comme méchant pour son film alors il a un peu tout foutu dans un grand mixer, et ce qui en est ressorti est pas franchement le truc le plus appétissant du monde. Au moins j’y aurais trouvé un énième futur mari, en la personne de Nick (le personnage, pas le réalisateur, ça va de soi). Et… bah, c’est tout en fait.
Je peux pas dire que je vous le recommande, mais si jamais ça vous tente, j’aimerais en discuter avec vous après coup, votre avis m’intéresse puisque je suis tellement dans le brouillard par rapport à ce film que quelques avis extérieurs me feraient le plus grand bien. J’attends vos réactions, et je m’excuse de finir cette sélection sur une revue aussi vague, mais je ne peux pas faire mieux.
Bande-Annonce:
D’abord avant de commencer mon petit topic sur ce film sans trop grande importance et je pèse mes mot je tient a te remercier pour ton site que j’ai connue durant un de mes légendaire hérage webésque (halala l’ennuie)et frenchement je l’adore et grâce a toi j’ai connue le fabuleux
« The Hole » que j’aurais certainement jamais connue sans ton blog et sur lequel je reviendrai surement .Donc que dire de « the reeds »pour faire simple on pourer dire que se film résume bien le vielle adage
<> parce que l’histoire sans toute les fioritures fantastique bidon et loin d’être révolutionnaire bien au contraire donc a trop vouloir nous impressionner le réalisateur nous perd complétement surtout la toute fin c’est vraiment inutile mais vraiment je le conseil malgré tout ce j’ai dit je l’ai trouvé pas trop mal oui je sais ça se voit pas donc je le conseille mais je vous prévient il est inutilement bizarre.
Dsl de reposter mon message mais je me suis un peut perdu dans mon roman et j’ai donc oublier un phrase donc bref voila.
D’abord avant de commencer mon petit topic sur ce film sans trop grande importance et je pèse mes mot je tient a te remercier pour ton site que j’ai connue durant un de mes légendaire hérage webésque (halala l’ennuie)et franchement je l’adore et grâce a toi j’ai connue le fabuleux
“The Hole” que j’aurais certainement jamais connue sans ton blog et sur lequel je reviendrai surement .Donc que dire de “the reeds”pour faire simple on pourrais dire que se film résume bien le vielle adage
<> parce que l’histoire sans toute les fioritures fantastique bidon et loin d’être révolutionnaire bien au contraire donc a trop vouloir nous impressionner le réalisateur nous perd complétement surtout la toute fin c’est vraiment inutile mais vraiment je le conseil malgré tout ce j’ai dit je l’ai trouvé pas trop mal oui je sais ça se voit pas donc je le conseille mais je vous prévient il est inutilement bizarre.
bon je crois que je vais continuais mes inutile postage parce que ma phrase a étais encore oublier décidément je suis pas doué lol donc je la remet :ce film résume bien le vielle adage pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer.Voila maintenant j’arrête le massacre.
J’ai pour ma part passé un bon moment avc ce film. Il nous perd, nous surprend, d’où vient le danger ? animaux, tueurs ? jeunes voyous ? non, on n’est ni dans Primeval, ni dans un Jason, ni dans The Strangers.
D’abord on est dans des marécages anglais. les films britanniques ont souvent une couleur particulière qui nous dépaysent des films US. Ici encore. Au final, on est dans une histoire de vengeance de fantômes, une fois de plus, mais traîté avec pas mal d’idées et de rebondissements. On ne s’ennnuie pas une seconde, les personnages n’ont rien des stéréotypes habituels (la bimbo, le gay, le gros con etc.) et on tout y est parfaitement compréhensible plus on progresse dans les méandres des roseaux et de l’espace temps imposé par les fantômes. Très bien, j’vous assure. Pas révolutionnaire, mais parfaitement maîtrisé, réalisé et joué. Que demander de plus au fond ?
Je l’ai vu au cinéma, en VOstFR, malheureusement, un ronflement m’a fait tourner les yeux au moment où la phrase fatidique expliquait pourquoi l’héroïne du film était celle qui pouvait mettre une fin à tout ça, mais pour ce que j’ai compris, dans les roseaux se cachent le passé, le présent et le futur…
Voilà pourquoi nos héros se voient dehors par la fenêtre de leur bateau, voient les enfants morts des années plus tôt et les voit vivant même après les voir et revoir se faire tuer… Et voilà aussi pourquoi, à chaque fois qu’ils tombent sur un bateau, c’est le leur, même si leur bateau est parti en fumée… Et voilà pourquoi ça se termine avec la scène de début 😉
C’est ce que j’ai compris 🙂
le vieux, je crois que c’est un fou qui tente de se débarasser de ses/ces fantômes du passé…
Simplement… Peut-être est-il le meurtrier de base, c’est le bout de l’explication que j’ai loupé…
:-s
Mais je le reverrai bien pour revoir ce passage 🙂
j’ai juste envie de dire : WTF ?
je viens de le mater avec deux potes, et on a juste pas compris, mais vraiment (bon si le coup des fantômes, le mix passé/présent) mais sérieux, je me demande si le réa savait vraiment quoi faire de son film…
Je suis tombé sur ce film aujourd’hui en faisant des recherches sur Simon Sprackling, le réalisateur du génialement foutraque « Funny Man ». En effet, le bonhomme a écrit et produit « The reeds » via sa société de production… Funnyman LTD. Par contre, il n’y a aucun point commun entre les 2 films. Autant « Funny man » est une grosse déconnade joyeusement gore, autant ce film est beaucoup plus posé et intriguant. Alors que l’on s’attend à un slasher lambda dès les premiers instants, on pense finalement se retrouver avec un ‘animal-feature’ puis un survival dans la lignée de « Eden Lake » pour terminer sur une espèce de ghost-story un peu curieuse. Le scénario distille bien son suspense et ses rebondissements, aidé en cela par une mise en scène étonnante et une image glaciale typique des productions britannique du genre. En revanche, les 30 dernières secondes du film étaient, à mon sens, complètement dispensables…
Pour les plus curieux d’entre-vous, je vous propose de découvrir « Funny Man » en cliquant sur le lien ci-dessous:
Bon film !